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Tout ça n'vaut pas l'amour

Comédie présentée par le Théâtre de la Bataille

Cinq  saynètes qui vous parlent d’amour …   mais pas toujours d’amour tendre !

Nous sommes à la charnière de deux siècles, la fin du 19ème et le début du 20ème siècle. C’est la « Belle Epoque », l’époque de l’insouciance et de l’optimisme.

Au théâtre comme ailleurs, l’heure est à la rigolade ; qu’il s’agisse de Tchékhov, Feydeau, Courteline ou Maupassant, ils ont souvent choisi l’amour et ses travers comme thème de prédilection.

Serait-ce par défi, par provocation, ou tout simplement pour rire et faire rire, que, pour sa nouvelle création, le Théâtre de la Bataille a choisi la Comédie de l’amour pour matière ? A moins que ça ne soit l’amour de la comédie ?

Une peinture satyrique des mœurs, des intrigues cocasses… sont le terreau et l’inspiration de ce spectacle présenté par le Théâtre de la Bataille , le tout servi par des personnages frisant la folie, une mise en scène extravagante, délirante, décalée, détonante, surprenante et désopilante et un jeu d'acteur physique et dynamique ! Le tout agrémenté d'intermèdes musicaux chantés et accompagnés par un accordéoniste...

Durée du spectacle : 2 heures

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Crédit photos : "Pépète aux Allumettes"

Léonie est en avance
Georges Feydeau - 1911
 

Julien Toudoux : Valère POULINGUE

Léonie : Pascale GOUJON

Mme Virtuel (la sage-femme) : Véronique LETESSIER

Mme De Champrinet (la mère) : Corinne DAVENET-GIRARD

M. de Champrinet (le père) : Emile JACQUEMARD

Clémence (la bonne) : Danièle REYNIER

Léonie, femme-enfant capricieuse, est enceinte de huit mois.

Elle souffre, et s'acharne sur son mari, Julien Toudoux.

Il doit exécuter tous ses caprices, même les plus extravagants.

Toudoux s'exécute, et devient la risée de sa femme, de ses beaux-parents,

de la bonne et de la sage-femme.

Les parents de Léonie déplorent l'arrivée prématurée de cet enfant.

Mais qui se douterait de la chute que nous réserve Feydeau ?

Une vente
d’après la nouvelle « Une vente » de Guy de MAUPASSANT, publiée en 1884
 

Femme Brument : Evelyne BEZU

Isidore Brument : Jacques GLINEL 

Napoléon Cornu : Fabrice BOUCHER

Le juge : Jean-Pierre ANDRIEU

Adaptation au théâtre de "Une vente" : Michel MEDIEU

Césaire Isidore Brument, éleveur de porcs et Prosper Napoléon Cornu, cabaretier, comparaissent devant la cour d’assises de la Seine Inférieure pour tentative d’assassinat sur la personne de Mme Brument, tentative d’assassinat par immersion complète dans de l’eau, dans de l’eau de mare.

Plus tôt, Brument était allé dans le bar de Cornu, les deux buvant de nombreuses fines et finissant complètement bus. Brument a besoin d’argent, et propose à Cornu de lui vendre sa femme ... au mètre cube !

La peur des coups 
Georges COURTELINE - 1894

Elle : Julie GUILHOMAT   

Lui : Dylan CHANDELIER

 

Il semble énervé, ce qui n’a pas l’air d’étonner sa femme. Le couple se dispute car elle s’est soi-disant fait peloter. Il lui reproche d’avoir déshonoré son nom,  avec un officier qui plus est ! Il n’admet pas qu’elle dise qu’il a « peur des coups ». Il interdit à sa femme de revoir sa mère, il veut renvoyer la bonne et même se débarrasser du chat !!

La demande en mariage 
Anton TCHEKHOV - 1889

Tcheboukoff  : Philippe PETIT

Lomof : Dylan CHANDELIER

Natalia : Pascale GOUJON

 

Lomov vient demander une jeune fille en mariage, Natalia Stepanovna. Il est reçu par le père, Stepan Stepanovitch, qui marque son enthousiasme, et va chercher sa fille. La question de l'appartenance du pré aux vaches fait dégénérer cette demande en mariage. La dispute revient à propos du prix d'un chien de chasse. Le prétendant s'évanouit. On le croit mort !!!

Gros chagrins
G
eorges COURTELINE (1858 - 1929)

Gabrielle : Corinne DAVENET - GIRARD

Caroline : Danielle REYNIER

 

Gabrielle est une femme trompée qui confie ses problèmes à son amie Caroline. Les deux femmes passent du rire aux larmes dans ce portrait de la bourgeoisie du début du XXe siècle écrit en 1897.